Avec ces alliés anti-blues reconnues scientifiquement, c'est un peu comme offrir le bon alignement des planètes émotionnelles à un moral jusque-là adepte des montagnes russes.
Tour d'horizon de ces dopants naturels à mettre dans notre assiette tout au long de l'hiver.
Le chocolat noir:
Notre ganache préférée est psychostimulante car elle recèle de la phényléthylamine, molécule proche des amphétamines, ainsi que de la théobromine aux vertus euphorisantes, du tryptophane et du magnésium anti-anxiété et anti-nervosité.
En faire le plein est d'autant plus précieux que le blues dilapide nos stocks en activant une hormone qui rend les parois cellulaires perméables au magnésium (également dans le cacao, le sésame, les graines de tournesol, les amandes, les noisettes).
Les Oméga 3:
Ces acides gras polyinsaturés issus des poissons gras (hareng, saumon, sardine, maquereau, thon) et des huiles de lin, de noix et de colza, sont des constituants cruciaux des membranes cellulaires des neurones.
Or la fluidité de ces membranes aurait une incidence sur l'efficacité de la libération de la sérotonine, et donc sur son effet antidépresseur.
"Une étude australienne relève 59 % de symptômes en moins chez les femmes dont le taux sanguin de DHA, l'un des Oméga 3, est augmenté de 1 %", détaille le Dr Florian Ferreri.
Traduction : du poisson trois fois par semaine et 1/2 c. à soupe d'huile par repas.
La levure de bière
Truffée de vitamines du groupe B, vitamines anti-spleen, elle contient en plus du tryptophane.
"La levure de bière stimule tout en étant légèrement sédative, ce qui apaise. En bonus, elle calme les pulsions sucrées spécifiques des baisses de moral", souligne le Dr Serge Rafal, spécialiste des médecines douces.
Tour d'horizon de ces dopants naturels à mettre dans notre assiette tout au long de l'hiver.
Le tryptophane
Présent dans la dinde, le canard, les viandes, les œufs, la morue, la lotte, le chocolat noir, la banane et les céréales complètes, cet acide aminé permet de synthétiser la sérotonine, neuromédiateur qui maintient nos émotions à flot.
"Pour que le tryptophane avalé au déjeuner puisse franchir la barrière hémato-encéphalique, le filtre qui entoure et protège le cerveau, il faut consommer des glucides (fruits secs ou frais, chocolat…) vers 17 h, lorsque débute la synthèse de la sérotonine", rappelle le psychiatre Florian Ferreri.
Le chocolat noir:
Notre ganache préférée est psychostimulante car elle recèle de la phényléthylamine, molécule proche des amphétamines, ainsi que de la théobromine aux vertus euphorisantes, du tryptophane et du magnésium anti-anxiété et anti-nervosité.
En faire le plein est d'autant plus précieux que le blues dilapide nos stocks en activant une hormone qui rend les parois cellulaires perméables au magnésium (également dans le cacao, le sésame, les graines de tournesol, les amandes, les noisettes).
Les Oméga 3:
Ces acides gras polyinsaturés issus des poissons gras (hareng, saumon, sardine, maquereau, thon) et des huiles de lin, de noix et de colza, sont des constituants cruciaux des membranes cellulaires des neurones.
Or la fluidité de ces membranes aurait une incidence sur l'efficacité de la libération de la sérotonine, et donc sur son effet antidépresseur.
"Une étude australienne relève 59 % de symptômes en moins chez les femmes dont le taux sanguin de DHA, l'un des Oméga 3, est augmenté de 1 %", détaille le Dr Florian Ferreri.
Traduction : du poisson trois fois par semaine et 1/2 c. à soupe d'huile par repas.
La levure de bière
Truffée de vitamines du groupe B, vitamines anti-spleen, elle contient en plus du tryptophane.
"La levure de bière stimule tout en étant légèrement sédative, ce qui apaise. En bonus, elle calme les pulsions sucrées spécifiques des baisses de moral", souligne le Dr Serge Rafal, spécialiste des médecines douces.